samedi 18 janvier 2014

chat-pitre 2 : Le réveil dans le Kerala




Escale à Bengalore, après une semaine délicieuse à Hampi, avant de prendre un train pour le kerala.
Pour parler brievement de cette ville, une grosse metropole comme on peut en trouver partout. Mais c'est toujours amusant de croiser une femme en sari commandant son burger à Macdo. Un peu de shopping et en avant pour l'inconnu...




Cheruturuty, acte 1 (ou le trou-du-cul du Kerala) :




27/11/2013

Comme toujours on a aucun plan, aucune reservation, juste le nom de l'école et l'envie de s'y rendre.
Notre bonne étoile nous donne comme voisins de couchette, une petite famille indienne adorable. Kéralais d'origine, mais travaillant à Bengalore dans un hopital, ce sont des personnes très ouvertes et généreuses. Leur petite fille de 3 ans nous a bien fait rire même si elle ne parlais pas un mot d'anglais. A travers ses jeux d'enfants, elle nous démontrait à quel point le théâtre peut être un langage universel. Le père connait bien la région, il nous conseille de nous arreter 3 heures avant cochin. Très attentionné, il se réveille avant pour s'assurer que l'on ne se trompe pas et pour nous donner quelques derniers conseils.

Il est 4h du matin et nous voilà arrivé à la gare de Trichur. Assis sur nos sac, on regarde cette vie nocturne défiler : rickshaw allant et venant, les gens encore presque endormis portant leurs bagages, les retrouvailles, les aurevoirs... Cette ville ne brille qu'une fois par an, le jour où les élephants par dizaines viennent l'envahir.

Il nous reste une trentaine de kilomètres pour atteindre le lieu-dit. Luttant contre le someil nous montons dans un taxi ambassador blanc. Marie s'est endormie, je regarde par la fenêtre le paysage de cette jungle tropicale s'éveillé peu à peu. Nous arrivons devant les portes de l'école, elles sont fermés. Evidement il est trop tôt. Notre chauffeur de taxi, bien décidé à nous laisser entre de bonnes mains fait le tour des petits hotels environnant. Soit ils sont trop chères, soit il est trop tôt, soit on ne nous accepte pas. Il nous faut une petite heure avant de pouvoir obtenir une chambre. L'hotel ressemble à un grand resort qui n'aurait jamais été terminé. Nous sommes les seuls clients et, pour la première fois, notre hôte ne parle pas un mot d'anglais.




Après une petite sieste bien méritée, nous voila à la recherche d'un endroit où se restaurer. Après 20 minutes de marche le long d'une grande route nationnale, nous trouvons un petit restaurant. Pas de menu, toujours pas d'anglais et cette ettonement collectif de voir des blanc dans leur village. On peut le dire on a vraiment quitté les sentiers touristiques!

Beaucoup d'excitation à la découverte de cette nouvelle facette de l'inde et à la fois beaucoup d'appréhension quant au tournant que prend notre voyage.
En effet, après avoir dormis sur les route, nous décidons de poser nos bagages pendant deux mois dans ce village. C'est pour nous l'occasion de s'initier au théâtre traditionel du Kerala : le Katakali, et aussi découvrir un nouveau mode de vie en s'immergeant un peu plus dans cette culture.






2 commentaires:

  1. Namaste,

    En voila un endroit qu'i m'a l'air somme tout bien sympathique pour se poser quelques temps, par contre la piscine est peu verte sur la dernière photos.


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  2. Nous avons passé un bon dimanche avec PierO et Charline

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